Après le Chaos
part très prochainement en tournée après le très bel accueil reçu à Avignon festival off 2023
Si vous souhaitez nous accueillir dans votre structure, n’hésitez pas à nous contacter contact.picrokole@gmail.com
Un texte de :
Élisabeth Gentet-Ravasco
Mise en scène : Stéphane Daurat
Avec : Véronique Augereau
Musiques : Avant l'Aube
Conception et réalisation Vidéo : Fanny-Gaëlle Gentet
Scénographie : Sébastien Sidaner
Lumières : Sébastien Vergnaud
Une production
La compagnie Picrokole
avec le soutien de Arcal - Groupe Gruau - Bouffon Théâtre - L’Agapante & Cie
En savoir plus sur l'équipe artistique
Ce texte est lauréat de l’Aide à la création de textes dramatiques - ARTCENA
Résumé : Une mère apprend l’impensable : son fils est mort dans une fusillade de masse. Anéantie, elle doit faire face au quotidien.
Mais comment surmonter une telle tragédie quand le meurtrier est son propre fils ?
Avec pour seuls partenaires projections vidéo, lumières et musique originale, Véronique Augereau nous livre une interprétation bouleversante du récit de cette femme dévastée.
Note de l'auteur
Traumatisés, marqués à jamais.
Nous le sommes tous, après les terribles attentats commis ces dernières années dans le monde et en France. Toulouse, Charlie Hebdo, l’Hyper Cacher, le Bataclan, Nice, Strasbourg… la liste est incomplète et s’allonge irrémédiablement.
Notre insouciance est à jamais brisée.
Comme beaucoup, j’ai regardé les informations après chaque attentat, comme beaucoup, j’ai été hypnotisée par les images qui défilaient en boucle. Comme beaucoup de mères, mon cœur s’est serré en imaginant mon enfant au milieu de ces cris, de cette foule paniquée, de cette violence, de ces morts. Mon enfant, parmi ces morts…
Je connais des gens directement touchés par l’un de ces attentats, lequel exactement n’a plus d’importance ou presque, tant ils s’enchaînent et se ressemblent pour nous qui regardons depuis l’extérieur. Je connais des mères pour qui, un jour fatal, un de ces attentats n’a plus été comme les autres. J’ai vu leurs blessures et leur détresse, la détresse de celles qui vivent cela depuis l’intérieur. Celles qui connaissaient, aimaient ceux qui étaient là. Vraiment, là. En face des balles, en face des armes, en face d’Eux, les tueurs.
Eux qui, aussi, ont vécu tout cela de l’intérieur. Eux qui ont des mères, aussi.
En tant qu’être humain, mais aussi en tant qu’autrice, je m’interroge souvent sur les motivations des uns et des autres, et plus particulièrement sur les motivations de ces jeunes criminels suicidaires.
Qui sont-ils ?
Quelle société avons-nous construite pour que nos enfants grandissent dans cette violence ?
En quoi sommes-nous responsables, coupables ?
Comment peut réagir la mère d’un terroriste ?
Comment peut-elle accepter la vérité ?
Quel est son degré de culpabilité ?
Peut-elle se détacher des actes de « sa chair et son sang » ?
Comment ne pas se demander si elle n’a pas guidé ce bras ?
Est-il possible d’imaginer une vie « après » ?
C’est de toutes ces questions qu’est né Après le chaos.
J’ai voulu construire cette pièce sur deux plans : le discours intérieur de cette femme et son discours aux autres. Avant. Après. Savoir. Ne pas savoir.
La violence d’un attentat réside aussi dans la violence de l’annonce, des médias, de la police, des proches, les mots toujours maladroits pour dire l’insupportable.
L’annonce : « Votre fils est mort » suivie du néant.
Mais pour cette femme, cette annonce n’est pas suivie du néant. Elle est suivie par d’autres annonces pires encore, par d’autres chocs, d’autres découvertes indicibles qui doivent pourtant être dites, redites, écoutées surtout, digérées malgré tout.
Découverte que son fils est le terroriste qui a semé la mort, qu’il a tué les amis de son propre frère.
Découverte de la haine des autres.
Découverte de la haine de soi, de sa propre impuissance, de sa culpabilité.
Chaque mot est un choc, chaque mot est un coup, une vérité insupportable, un morceau du passé, de la vie d’avant qui disparaît à jamais.
J’ai voulu qu’Après le chaos se vive comme un parcours théâtral dans lequel chaque spectateur accompagne cette femme.
Dans toute sa tragédie et dans toute son humanité.
Élisabeth Gentet-Ravasco
Note intention mise en scène
La perte d’un enfant, quelles qu’en soient les circonstances, est sans doute ce qu’il y a de plus inimaginable, effroyable et certainement impossible à surmonter. Comment vivre ce cauchemar sans douter de sa réalité, comment ne pas espérer que l’on va se réveiller, que tout va reprendre comme avant… ?
Mais le réveil n’a pas lieu, tout est vrai et les questions déferlent. Pourquoi ? Comment est-ce possible ? Que s’est-il passé ? Puis vient la culpabilité, celle que l’on ressent, celle des autres, leurs regards, leurs mots, leurs accusations. Et ce sentiment d’avoir failli, de ne pas avoir été à la hauteur, autant de questions qui déchirent et détruisent petit à petit.
Dans ce monologue fort et intense d’Élisabeth Gentet-Ravasco, tout est déjà joué pour cette femme, le drame a eu lieu, impossible de revenir en arrière. Le spectateur est convié à écouter le té moignage d’une mère dont le temps vient de se suspendre à jamais. Elle va se livrer, offrir en adresse directe au public le récit des évènements tragiques qui suivent la nouvelle : « Votre fils est mort ».
En s’interrogeant, en se racontant, elle nous invite, sans qu’on s’en aperçoive à nous glisser, à sa place, au plus près de cette tragédie. Et nous la suivons, l’écoutons, et nous nous interrogeons par mimétisme, sans jugement, happés par ces questions conscientes ou inconscientes qui naissent à chaque étape de son récit. Qu’aurions-nous fait ? Comment supporter cette horreur ? Comment vivre avec ? Comment vivre sans ? Comment se reconstruire ? Comment effacer ces images, ces sou venirs, ces odeurs ? Comment oublier ces phrases, ces mots… ? Comment comprendre ? Faut-il comprendre ?
Sur le plateau, quelques éléments dispersés, incomplets, amputés… Rien n’est réaliste mais tout concourt à nous évoquer les différents espaces d’une maison. Des morceaux de vie, de souvenirs, délimités par ces tissus qui descendent des cintres et forment une atmosphère cotonneuse, abstraite, qui soustrait à la réalité. Nous voyageons dans les souvenirs proches et lointains, heureux et tragiques de cette mère. De cette femme qui s’offre, se montre dans toute sa vérité, avec sincérité, tendresse, intensité, fureur, avec cette urgence, ce besoin de comprendre.
La création lumière et des projections vidéos sur tissus créeront une ambiance, feront ressentir une atmosphère, accompagneront un souvenir, délimiteront les espaces.
Le travail sur le son sera riche et précis, pour faire exister et vivre l’extérieur, les personnages et les situations sur lesquels s’appuie le récit.
La direction d’acteur aura comme orientation la recherche de la simplicité, de l’authenticité, de la vérité et de l’intensité. Une humanité dans le partage des émotions et une grande dignité dans la narration de cette tragédie. Travailler toute en retenue pour ne pas montrer ni expliquer ce qu’il faut ressentir, mais pour que chaque spectateur puisse être surpris par ses propres émotions et réactions.
C’est un travail qui demande à toute l’équipe et à la comédienne, en premier lieu, une grande humilité et une grande générosité… et c’est ce que j’ai immédiatement ressenti dès la première lecture avec Véronique Augereau.
Une musique originale et un univers visuel où alterneront lumière, video et animation seront les autres acteurs de ce spectacle.
Stéphane Daurat
L’EQUIPE ARTISTIQUE
INTERPRÉTATION
Véronique Augereau, déterminée à devenir comédienne dès son plus jeune âge, obtient la médaille d'or du Conservatoire d'art dramatique de Rouen. Elle intègre ensuite le Cours Florent à Paris, puis entre à l'ENSATT, rue Blanche. Elle continue sa formation en suivant les stages d'Andreas Voutsinas et ceux d'Ariane Mnouchkine, puis intègre la troupe des Acteurs de l'Ile de France.
Au théâtre, elle joue Molière, Shakespeare ou Feydeau, mise en scène par Jean-Paul Zehnacker, Mario Franceschi ou Jean-Paul Bouron, parallèlement, elle anime chaque matin une émission de radio. Elle participe à l’aventure du café-théâtre, notamment au Café d'Edgar, avant de présenter plusieurs spectacles à thèmes au Centre Beaubourg.
Depuis plus de trente ans, Véronique Augereau prête, aussi, sa voix à de nombreuses actrices, notamment à Jamie Lee Curtis, Linda Hamilton ou Rene Russo et elle est la voix française, bien connue, de Marge dans la série Les Simpson.
Dernièrement, elle a joué dans les courts métrages Being Homer Simpson d'Arnaud Demanche avec entre autres Philippe Peythieu et Après six heures d’Élise Lebargy.
MISE EN SCÈNE
Stéphane Daurat s’est formé à l’école Florent avec Daniel Romand, Georges Bécot, François-Xavier Hoffman, Eric Ruf et Muriel Mayette. Talent ADAMI 1998, il a tourné Chourmo réalisé par Richard Dembo.
Au théâtre, il a joué dans une quarantaine de pièces, sous la direction de, notamment, Georges Bécot, Vincent Primault pour la création de Pourquoi mes frères et moi on est parti d’Hédi Tillette de Clermont-Tonnerre, ou Catherine Hauseux, avec laquelle il collabore artistiquement au sein de la Compagnie Caravane depuis plusieurs années. Récemment, il a joué deux seuls en scène : Rhinocéros la nouvelle et Quand je serai un homme au théâtre Essaïon (Paris, Avignon OFF 2022) et en tournée.
Il a mis en scène douze spectacles à ce jour, dont dernièrement Quand je serai grande… tu seras une femme ma fille de Catherine Hauseux, Un sac de billes de Joseph Joffo, adapté par Freddy Viau et La Vie est Belle, adaptée du film de Franck Capra à Paris (Théâtre 13, Le Lucernaire) et en tournée.
ÉCRITURE
Élisabeth Gentet-Ravasco, ancienne élève du cours Jean-Laurent Cochet et du Cours Florent, a écrit plus d’une quinzaine de ses pièces, créées en France (Paris, Festival d’Avignon et région) et à l’étranger (Royaume-Uni, USA, Liban, Turquie, Belgique et Luxembourg), parmi lesquelles citons, en tout public, Je suis ta mémoire (texte soutenu par la fondation Beaumarchais, 1er prix ALFA Avignon), Manger, Mort naturelle (1er prix du concours de l’Act à Metz) ou Adèle Hugo ou J’ai marché sur la mer (1er prix du mécénat 89) et en jeune public la trilogie des Charline ou dernièrement une adap tation du Chat Botté joué en France, au festival d’Avignon et à l’étranger (Suisse, Royaume-Uni, USA). Elle a publié plus d’une vingtaine de pièces aux Éditions L’Agapante & Cie, parmi lesquelles dernièrement Nous (dans le volume Ados en Scène n°3), Le Désidénoir (dans le volume Un Autre Regard) qui a reçu le Premier Prix 2009 du Théâtre contemporain pour le jeune public et une adaptation bilingue (traduction Fanny Gaëlle Gentet) du Chat Botté. Elle a aussi écrit des pièces radiophoniques pour France-Inter et de nombreux contes pour enfants. Elle a publié des livres sur la pratique du théâtre pour Bordas, Hachette et Armand Colin.
Titulaire du Diplôme d’État de professeur de théâtre délivré par le Ministère de la Culture, elle a été pro fesseur au cours Florent et intervient en atelier théâtre ou écriture dans des écoles, collèges et lycées. Depuis 2001, elle écrit de nombreux articles, chroniques, interviews, dossiers, critiques d'ouvrages et de spectacles, exercices et saynètes inédites pour la revue Atelier-Théâtre (pratique et réflexion sur la péda gogie théâtrale, 52 numéros parus à ce jour).
MUSIQUE
Avant l'Aube est un groupe né de la rencontre entre Laurence-Pauline Boileau et Clément Barda. Ensemble, ils composent et élaborent une musique nourrie de textures acoustiques et de synthés pla nants, portés par la voix de Laurence-Pauline. L’univers musical et cinématographique d’Avant l’Aube s’est déjà greffé à plusieurs courts métrages, dessin animé ou encore films publicitaires pour des asso ciations humainement et socialement engagées.
SCÉNOGRAPHIE
Sébastien Sidaner débute avec la photographie et expose dans quelques galeries et le off des rencontres internationales de la photographies d’Arles. Très vite il associe photographie et film et présente ses travaux aux Rencontres Arts Électroniques (Rennes), Images contre nature, Festival iInternational de Vidéo Expérimentale (Marseille), Festival Vidéoforme (Clermont-Ferrand), Les Vidéogrammes (Marseille)...
Depuis 2003, il travaille sur l'espace de projection et la scénographie vidéo, presque exclusivement pour le spectacle vivant; avec, entre autres, l’Orchestre Symphonique de Bretagne, Phillipe Adrien, Jacques Gamblin, Agathe Mélinand ou dernièrement Serge Nicolaï.
LUMIÈRE
Sébastien Vergnaud, accompagne depuis 1996 plus de quarante spectacles en tournée . Ses dernières créations lumières: La fée capriccio de Floriane Bonanni, Lady lightly de Kyrie Kristmanson, Tempo de Dom La Nena et le chant des oiseaux du duo Birds on a Wire. Il est également créateur d’objets sous le pseudo Vénus debarge.
VIDEO
Fanny-Gaëlle Gentet, cinéaste et autrice, a fait ses études en France et aux USA. Elle a réalisé trois courts-métrages : L221-6 (France), Triffles for a Massacre (USA) et Derrière le masque (France). Elle travaille en tant que monteuse sur de nombreux projets entre la France, l’Italie et les USA, parmi lesquels le documentaire Graffiti à New-York pour Sky Arte, le court-métrage Frankie (nommé au Nastro d’Argento), ou, depuis 2018 pour la célèbre web-série milanaise Estremi Rimedi.
Titulaire d’une licence Sciences du Langage à Sorbonne Nouvelle, elle écrit pour le théâtre (Éditions L’Agapante & Cie). Son premier roman, J’aimerai avoir peur de la mort, a été publié en 2020 chez Fougue Editions.
PRODUCTION
La Compagnie Picrokole, Créée en 1985, basée à Paris, a créé de nombreux spectacles tout public et jeune public, joués dans de nombreux théâtres parisiens, au fes tival d’Avignon et lors de tournées en France et à l’étranger. Elle se produit également dans des lieux plus inhabituels comme des usines, des entreprises, des médiathèques ou des établissements scolaires. Elle veut faire de chacun de ses spectacles un évènement artistique, original et sensible, tout en s’adressant à un large public.
EXTRAITS DE PRESSE
Amélie Beaucour - RFI : Comment surmonter la mort d'un enfant ? Comment vivre avec le cauchemar de la fatalité, de la culpabilité, du regard des autres ? Dans ce monologue fort et intense, signé Élisabeth Gentet-Ravasco et mis en scène par Stéphane Daurat, la comédienne Véronique Augereau livre au spectateur avec sincérité et tendresse, sa confession de femme, son témoignage de mère, face à la tragédie de la perte d'un fils.
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Kilian Orain - LA VIE : La musique originale et les formes abstraites projetées de part et d’autre de la comédienne rythment ce drame sensible et bouleversant. […] Véronique Augereau connue sous un autre registre pour être la voix française de Marge Simpson, incarne avec justesse ce personnage de mère endeuillée. […] Un point de vue rare
Alexandre Tharaud : Véronique Augereau est phénoménale. Courez-y vite !
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Sandra Mignot - LE 18 EME : La performance de Véronique Augereau emmène le spectateur au cœur de la douleur […] Le dénouement est aussi glaçant que le récit est douloureux.
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Yves Poey - DE LA COUR AU JARDIN : Dans ce texte bouleversant et par certains égards, éprouvant, au sens premier du terme à savoir le partage d'une épreuve, la dramaturge et pédagogue du théâtre Elisabeth Gentet-Ravasco nous fait réfléchir à toute une série de questions […] Stéphane Daurat a bien compris qu’il était nécessaire de se situer dans une recherche de simplicité et d’intense rigueur. Ici, pas d’effets, pas de faux-semblants. De manière à laisser beaucoup de place au public afin qu’il puisse ressentir ses propres émotions. […] Mademoiselle Augereau évolue devant ces deux grands lés blancs sur lesquels sont projetées les images cotonneuses, mouvantes de Fanny-Gaëlle Gentet. Un monde devenu à jamais brumeux et abstrait. Le groupe Avant l’aube signe une belle création musicale à l’image de ces projections. C’est également un spectacle qui s’écoute intensément. […] Il faut également saluer les belles lumières de Sébastien Vergnaud, douces ou plus crues selon les moments du texte.
Un poignant et bouleversant spectacle, l’un de ceux dont personne ne peut sortir indemne. Le théâtre sert aussi à cela...
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Guillaume D'azemar de Fabregues - JE N'AI QU'UNE VIE : Véronique Augereau a pris mon cœur dans sa main en entrant sur scène, et l’a serré dans son poing. Jusqu’à ce que la dernière goutte d’empathie soit sortie. A la fin du spectacle, elle l’a glacé, brisé en menus morceaux.
Une pièce dont on sort en disant « oh putain », en vérifiant bien que tout est resté normal, que c’était bien du théâtre.
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Bonfils Frédéric - FOUD’ART : Ce spectacle, ce cri, à la fois effroyable et d’une beauté incroyable, toujours juste, subtil et sans jamais être pathétique, nous propose un voyage au cœur de l’intime et de l’émotion de cette mère fracassée
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Micheline Rousselet - CULTURE DU SNES-FSU : Comme des images mystérieuses de ce qui traverse les pensées de cette mère, deux panneaux lumineux tels des tableaux abstraits en noir et blanc scintillent, semblant striés de larmes ou laissant imaginer une silhouette parfois. Le travail sur la lumière suit avec délicatesse la comédienne seule en scène. […] Véronique Augereau pieds nus, désarmée est cette mère dont le monde s’effondre et qui s’offre avec sincérité, tendresse, fureur, avec ce besoin de comprendre et d’être comprise. […] Elle est magnifique. Sans jamais sombrer dans le pathos, elle nous laisse bouleversés, le cœur brisé comme le sien.
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Sarah Franck - ARTS-CHIPELS : Existe-t-il une vie d’après pour une mère de terroriste ? Un cheminement douloureux entre culpabilité et responsabilité… Élisabeth Gentet-Ravasco s’intéresse à ceux dont la souffrance a été occultée par celles des victimes : les proches de leurs bourreaux. Elle se glisse dans la peau d’une mère de terroriste qui découvre, alors que l’événement s’est produit, le comportement de son fils et ajoute à la douleur de sa perte celle des victimes et son propre sentiment de culpabilité.
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PADG: Venez découvrir Véronique Augereau au théâtre dans un seul en scène époustouflant de force et de sincérité. Une performance magnifique et profonde. Bravo.
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Pierre François - HOLYBUZZ : Terriblement vraie. […] Après le chaos est une pièce magnifique !
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Jean-Pierre Hané – CULTURE TOP : Quand la tragédie la plus intime s’invite devant vous avec son plus beau sourire et massacre tout votre monde.
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Marie-Céline Nivière - L’OEIL D’OLIVIER : Le texte nous questionne sur le monde que l’on nous a construit et celui que nous bâtissons encore. Sur cette violence qui prend de plus en plus de place dans une société en perte de repères. […] D’une authenticité poignante, toujours sur le fil des émotions, l’interprétation de la comédienne
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Maryse Chauvaux -RCF RADIO : Un texte fort, une pièce universelle. Que faire de son chagrin, de sa souffrance et de sa culpabilité ?
PARIS BLOG THÉÂTRE: Avignon c'est aussi des gifles ! Des spectacles qui vous scotchent au fauteuil. Des textes qui vous tiennent en apnée et vous laissent avec dans la tête des remises en question. Après le chaos est un de ces spectacles où l'on ne sort pas forcément le sourire aux lèvres mais avec la fierté d'avoir assisté à une explosion de talent, d'amour et d'émotion. […] Un spectacle à voir pour comprendre, aimer et vivre. Empli d'humanité et de compassion.
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Geneviève Brissot - LA THÉÂTROTÈQUE : la comédienne est époustouflante, Je n'ai pas d'autres mots. Sublime, exceptionnelle.
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